Une variation sur le poème de Charles Baudelaire, Un hémisphère dans une chevelure (1861).
« Dans l’océan de ta chevelure, j’entrevois un port fourmillant de chants mélancoliques, d’hommes vigoureux de toutes nations et de navires de toutes formes découpant leurs architectures fines et compliquées sur un ciel immense où se prélasse l’éternelle chaleur. »
2011 ♦ vidéo sur moniteur ♦ sonore ♦ durée : 01’31 ♦ avec Tony S. R.