Un plan-séquence projeté à échelle 1, celui d’une jeune femme jouant à la chaise musicale, à la fois joueuse et meneuse du jeu, le temps d’une chanson. Un titre qui reprend celui d’Un Roi Sans Divertissement de Jean Giono, une trame qui s’en inspire. Parer l’ennui par le divertissement, jusqu’à la folie, jusqu’à la mort. Une strate burlesque, générée par la frénésie d’un jeu performatif, une autre d’ordre psychologique, d’un personnage borderline.